Comment les infrastructures énergétiques bas-carbone gagnent les territoires ? (Avril 2024)

Ces articles ont souligné le rôle prépondérant d'Idex dans le déploiement de projets innovants tels que les réseaux de chaleur et les unités de valorisation énergétique des déchets, la production de vapeur décarbonée pour l’industrie, marquant ainsi une avancée significative vers une énergie plus propre et durable dans les territoires.

Dans l'édition du 25 avril 2024 du Point, Audrey Emery rapporte l'initiative de Cannes Lérins visant à confier à Idex la mise en place d'un second réseau énergétique pour parvenir à l'indépendance énergétique de la ville d'ici 2030. Ce projet s'inscrit dans une démarche plus large de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Le Moniteur et Nice-Matin fournissent des détails supplémentaires sur le déploiement de ce réseau de chauffage alimenté en biomasse dans le quartier de la Frayère. Idex est notamment chargé des travaux d’installation de l’infrastructure de distribution et de la mise en route de la chaufferie biomasse, témoignant de l'engagement du quartier dans une transition énergétique durable.

Plusieurs articles récents ont mis en lumière le nouveau réseau de chaleur de la Communauté d’Agglomération agenaise. Mathieu Dal'Zovo, dans son article pour l'Echo Judiciaires Girondins daté du 19 avril 2024, rapporte un projet d'envergure mené par Idex en partenariat avec l'Agglomération d'Agen, visant la création d'un réseau de chaleur urbain. 

Ce projet ambitieux, en gestation depuis une décennie, vise à réduire les émissions de CO2 de façon considérable en fournissant de l'eau chaude à 53 bâtiments du territoire. Ce projet a été largement repris en mars 2024 par la Dépêche du Midi ou le journal Sud-Ouest. Le journaliste Jean-Marc Lernould y décrit une collaboration décisive entre l'Agglomération d'Agen et Idex pour la création d'un réseau de chaleur urbaine alimenté par des énergies renouvelables ou de récupération. Ces trois articles mettent en avant l'engagement d'Idex dans la transition énergétique, offrant une alternative plus propre et plus durable pour le territoire d’Agen.

Les médias mettent en lumière le projet de déploiement du réseau de chaleur urbain Clauvaé, mené par Idex, dans la métropole clermontoise. Le Semeur Hebdo du 19 avril 2024 souligne l'inauguration récente du réseau, avec la présence notable du président de Clermont Auvergne métropole, Olivier Bianchi. L'article met en avant l'aspect écologique et performant de ce projet, initié en novembre 2022, qui vise à fournir une alternative plus durable pour le chauffage et l'eau chaude de plus de 10 000 équivalents-logements.

France Bleu, dans son édition du 11 avril 2024, présentée également sur France 3 par Chloé Martin, insiste sur l'utilisation innovante de la chaleur générée par l'incinération des déchets ménagers pour alimenter en chauffage le CHU et l'université de la région. Le réseau Clauvaé, opérationnel, offre une réduction significative des factures énergétiques des bâtiments raccordés, estimée entre 15 et 30% par an, tout en contribuant à une réduction des émissions de CO2 d'environ 14 000 tonnes par an.

7 jours à Clermont du 12 avril 2024, par Olivier Perrot, se concentre sur l'aspect technique du projet, notamment le pivot central qu'est devenue l'ancienne chaufferie des Cézeaux, désormais alimentée par la chaleur produite par l'incinération des déchets. Le réseau, en cours de déploiement sur 28 km des 33 prévus, devrait desservir 160 clients d'ici la fin de l'année. Le projet vise également une stabilité des prix énergétiques, tout en envisageant une transition vers une plus grande part d'énergie renouvelable à l'avenir.

La Presse présente le réseau Clauvaé comme une initiative majeure de transition énergétique, offrant à la métropole clermontoise une alternative plus écologique et économique en matière de chauffage urbain. Pour en savoir plus sur ce projet novateur. 

Le numéro spécial d'avril 2024 du Journal des Énergies Renouvelables, par Claire Baudiffier, met en lumière l'initiative novatrice du réseau de chaleur de La Défense, qui adopte une approche prometteuse en utilisant des déchets agricoles pour chauffer logements et bureaux. Après une décennie de recherche et de développement, le réseau de La Défense, l'un des plus importants de France, vise à atteindre un taux de 60% d'énergies renouvelables.

Historiquement alimenté par quatre chaudières au fioul lourd, le réseau a entamé sa transition vers des sources d'énergie plus durables avec l'introduction du bio fioul sur deux chaudières. Après avoir exploré diverses alternatives, telles que la géothermie et le solaire thermique, le choix s'est porté sur les agropellets, des granulés énergétiques fabriqués à partir de résidus agricoles. Cette décision a nécessité une collaboration étroite entre Idex, concessionnaire du réseau, et RAGT Énergie, une filiale du groupe agricole RAGT, pour surmonter les défis techniques liés au stockage, à l'acheminement et à la combustion des agropellets.

Le projet a également impliqué la réhabilitation d'un site de stockage près de Chartres et l'établissement d'un réseau de distribution ferroviaire efficace pour transporter les agropellets jusqu'à la centrale de Courbevoie. Cette transition vers les agropellets a permis d'atteindre un taux d'énergies renouvelables de 58% dans le mix énergétique du réseau, réduisant ainsi les émissions de CO2 de 54 000 tonnes par an, avec un coût total de projet de 34,6 millions d'euros, dont 11,5 millions d'euros de subvention de l'Ademe Fonds chaleur.

Dans le numéro du 29 avril 2024 de MO News Guyane, la journaliste Julie Lehrman dévoile une étape majeure dans le virage énergétique de la région. La Communauté d'Agglomération du Centre Littoral (CACL) a investi plus de 263 millions d'euros dans un projet ambitieux de traitement des déchets et de production d'électricité. La signature du contrat de la nouvelle Délégation de Service Public a été l'aboutissement de cette initiative, réunissant l'Agglo en tant qu'autorité délégante, Idex et ses partenaires.

Ce projet de grande envergure a pour objectif de traiter 120 000 tonnes de déchets par an pour alimenter en électricité une grande partie de la population de Cayenne, représentant environ les deux tiers de ses habitants. Il repose sur trois piliers fondamentaux : une Unité de Valorisation Energétique (UVE) ayant une capacité de traitement de 80 000 tonnes par an, une installation de stockage de 40 000 tonnes annuelles, et un quai de transfert. L'UVE, dont la mise en service est prévue pour fin 2028, devrait générer annuellement 45 GWh d'électricité, injectés dans le réseau public.

Ce projet, fruit de deux ans et demi de consultation, démontre l'engagement politique solide des élus de la CACL en faveur du traitement des déchets et de la production d'énergie. Serge Smock, président de la CACL, insiste sur l'importance de cette démarche pour le territoire, affirmant que cette initiative répond à un double intérêt général. Idex, en investissant 200 millions d'euros dans ce projet, contribue ainsi à réduire la dépendance énergétique de la Guyane tout en préservant son environnement unique.

Premier poste d'émissions de gaz à effet de serre en France, l'industrie concentre à elle seule près d'un quart des rejets de CO2 du pays. Un chiffre qui souligne l'urgence d'agir pour verdir l'énergie de ce secteur stratégique. Conscient de cet enjeu, Idex accompagne les industriels avec des solutions sur mesure pour décarboner leurs procédés.

Dans une série d'articles parus entre avril 2024, plusieurs médias mettent en avant le partenariat entre le groupe Idex et Lis, filiale de Lesaffre, dans le cadre d'un projet ambitieux de décarbonation de l'usine de séchage à Cérences, dans le département de la Manche. Les sources telles que le Journal des énergies renouvelables, La Manche Libre, et Enerpresse décrivent l'inauguration d'une centrale biomasse opérationnelle depuis février 2024, visant à réduire les émissions de CO2. 

Cette centrale, alimentée principalement par des ressources locales, illustre l'engagement de Lis dans la transition énergétique, avec un investissement significatif soutenu par l'Ademe. L'article de Process Alimentaire souligne le rôle clé d'Idex dans la conception et l'exploitation de la centrale, tandis que Ouest-France rapporte les détails de l'inauguration de la chaufferie biomasse, soulignant son impact positif sur la réduction des émissions de CO2 et l'approvisionnement en énergie durable. Ces différentes sources offrent une perspective approfondie sur l'importance de telles initiatives dans la transition vers une production plus durable dans l'industrie agroalimentaire. 

Le solaire constitue un autre pilier de la stratégie bas carbone d'Idex, qui multiplie les centrales photovoltaïques sur toiture et en ombrières de parking. Une expertise que le groupe met au service des entreprises pour les aider à verdir leur mix électrique

Dans les éditions récentes de PV Magazine, François Puthod met en avant les projets novateurs d'Idex dans le domaine des énergies renouvelables. L'article du 16 avril 2024 présente l'installation prévue d'une centrale photovoltaïque en ombrières sur le parking du centre hospitalier de Wissembourg, permettant à l'établissement de réaliser d'importantes économies d'électricité tout en adoptant des solutions durables conformes à la loi EnR. 

Cette collaboration entre Idex et l'hôpital, basée sur un partenariat financier et une location sur 19 ans, offrira une électricité propre et stable, tout en améliorant le confort des personnels. De même, dans une autre parution du 11 avril 2024, le même journaliste présente une initiative similaire où Idex installe des ombrières photovoltaïques couplées à des bornes de recharge sur les parkings de sites de production de la coopérative vinicole Cordier by InVivo. Cette approche, offrant à la fois des avantages en termes d'énergie renouvelable et de mobilité électrique, témoigne de l'engagement d'Idex à proposer des solutions complètes et rentables à ses clients. Ces articles invitent à découvrir davantage sur les initiatives prometteuses d'Idex en matière d'énergies renouvelables et de développement durable.